L’histoire d’une femme soumise

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il y a 8 ans

L’histoire d’une femme soumise

Je me lance sur une histoire vécue, toutefois un peu romancée et détaillée pour, je l’espère le bonheur de certains lecteurs.

J’ai appris à connaître les relations de soumission et de domination avec mon mari. Ces relations ont pris part dans ma vie après quelques années de mariage assez routinières, malgré notre âge assez jeune (32 pour lui et 27 pour moi). Après de longues discussions entre lui et moi nous avons découvert que nous avions des envies communes, ou contraires, comme vous voudrez en ce qui concerne les rapports soumission/domination. Il s’est révélé très dominateur dans ses fantasmes et mois très soumise contrairement à ma vie active ou j’occupe un poste à responsabilité.

Nous avons donc donné vie à nos envies, en commençant très doucement avec l’utilisation de gadgets, et tout autre objet pouvant parfaire ma nouvelle éducation de soumise. Je dois dire qu’il a pris son rôle de dominant très à cœur, à mon plus grand plaisir je dois l’avouer. Au fil du temps il a su m’imposer des contraintes, des postures, des ordres concernant ma vie au sein du foyer et à l’extérieur, dans nos rapports intimes… De femme mariée, je suis devenue son esclave, prête à tout pour combler ses moindres désirs.

Mes tenues ont inévitablement changé, mais aussi mon comportement et mon regard sur la vie terne que je menais, au final. Lui totalement en accord avec son nouveau statut de maître, titre que je ne devais plus oublier, ne se gênait plus pour m’asservir, m’humilier. Je dois reconnaître que ces envies de domination étaient plutôt cérébrale. L’humiliation en était sa préférence, il aimait me voir dans cet état, à sa merci et dans le temps à celles des autres.

Notre éducation nouvelle nous a fait évolué dans ces rapports de maître à esclave. L’avilissement que je subissais était le moteur de ses fantasmes, de ses envies encore plus poussées. Au fil du temps, j’ai appris à être docile, il jouait avec mon corps, mon esprit. Certains soir, la parole m’était coupée par un bâillon, d’autres soirs des menottes m’emprisonnais les poignets et les chevilles, un collier ornant mon coup et une laisse pendante sur mes reins. J’eus pour obligation d’être toujours parfaite en sa présence, tant dans mes tenues, mon épilation qui se devait d’être intégrale, mes postures.

Mon éducation évoluant, ses désirs ont évolués bien sûr, toujours à la recherche de limites repoussées pour son plus grand plaisir.

Dois je continuer?

Je précise que cette soumission n’est pas constante dans ma vie, nous nous octroyons des moments, des périodes de quelques jours de notre vie ou nous nous laissons aller à ces pratiques. J’allie ma vie professionnelle, celle d’épouse et celle de soumise sans trop de contraintes, seuls des moments déterminés me coupent du monde que je côtoie tous les jours. Merci d’en avoir fait la remarque plus haut.

Une humiliation grandissante

Je savais que pendant ces temps libres, il se connectait sur internet afin de recueillir des témoignages d’autres dominants et par la même occasion ils échangeaient entre eux leurs expériences et envies réciproques. Son envie était claire et je l’avais compris depuis quelques semaines, il me préparait à être humilier devant des inconnus, peut être d’autres dominants, que savais-je de tout ça?

Un soir, un homme frappa à la porte. Ce soir là, bien entendu j’avais pris mon apparence de soumise selon ses vœux quelques heures plus tôt. Un homme grand se présenta à la porte que lui ouvrit mon maître. Il était vêtu de noir, et semblait avenant à première vue. Je fus étonné que c’est homme que je connaissais pas, se présente à mon maître qui lui semblait de toute évidence le connaître. Il entra et sur l’offre de mon mari, s’assit sur le divan du salon. Je fus appelé après quelques minutes à venir servir l’apéritif. Cet homme pu me découvrir dans une tenue tout à fait appropriée à une soumise, en tout cas à celle qu’affectionnait mon maître. Très surprise de cette intrusion mais aussi très inquiète de la suite qu’elle aurait, je me suis présenté à cet homme en jupe et un haut de latex très courts, des bottes noires, et un collier de cuir noir, ou mon maître avait pris soin d’y faire porter mon nom. Sans dire mot, cet homme me regarda avec insistance comme pour s’assurer de ma position docile à l’égard de mon maître. Ce dernier après quelques minutes me demanda de me tourner. Je sentais les regards de ces hommes qui par leur expression m’avilissaient déjà. Je compris, par leur conversation, que mon maître avait donné à cet homme déjà quelques détails sur mon éducation, sur mon physique, et sur ma docilité grandissante.

Puis l’homme en noir, me parla : « Tu aimes ta position de soumise ? »

Je lui répondis : « oui je l’aime »

« Y éprouves-tu du plaisir ? »

A nouveau je répondis que oui

Puis ce fut tout, mon maître me renvoya dans la chambre sans d’autre mot. J’attendis presque une heure avant que cet homme mystérieux n’apparaisse à la porte de la chambre. Il me fis me lever et me dirigea à nouveau vers le salon ou mon maître toujours assis me regardait avec des yeux pétillants d’excitation. Puis mon maître me dit que mon éducation devait encore se parfaire pour que je devienne une véritable soumise et que ce soir, Arnaud que je devrais appeler Monsieur, se ferait un plaisir d’y apporter sa contribution. J’étais désormais à la merci de deux dominants, un que je connaissais tant dans ses envies que ses limites, un autre totalement inconnu à qui je ne devais opposer aucune résistance.

Toujours debout, je du à nouveau me tourner. Des cliquetis se firent entendre. Des menottes, cela ne faisait aucun doute, vinrent se positionner autour de mes poignets puis se refermèrent. Monsieur était derrière moi, son souffle parcourait mon corps drapé de latex. Il me pencha en avant, pour me regarder à nouveau sous tous les angles. Il dit pour seul commentaire que j’étais tout à fait à son goût et qu’il ne manquerait pas de me le démontrer. Cette phrase me fit frissonner et il pu s’apercevoir de la crainte que je ressentais pour lui. Il me fit m’avancer vers la table, sur laquelle je du m’appuyer sur le ventre, il écarta mes jambes, ce qui aida à ce que ma jupe remonte un peu plus. Je sentis un objet parcourir mes jambes, de bas en haut, puis mon dos, et quand cet objet arriva au niveau de mon coup je pu voir qu’il s’agissait d’une cravache. Allais y avoir droit ? La crainte m’envahit encore un peu plus.

Puis un bâillon se positionna sur ma bouche, qu’il serra avec attention sur ma nuque. J’étais désormais mains liées avec un bâillon qui amoindrissait encore un peu plus ma liberté de m’y opposer. Un sentiment d’humiliation m’envahit à ce moment là, offerte au yeux et au main de cet homme, qui ne se gênait plus pour parcourir mon corps avec ses doigts, s’arrêtant sur les zones les plus érogènes de mon enveloppe corporelle. Je sentais qui palpais mes seins, puis mes fesses, puis plus tard mon entre jambe. Je voyais les sourires approbateurs qui s’échangeaient entre les deux hommes. Puis, passant sous la jupe il découvrit que je n’avais pas de dessous et me félicita pour cette initiative. Ses doigts se faisaient plus pressants sur mon intimité, mon humidité ne se cachait plus, mon plaisir n’était que plus grand. Il f o r ç a mon sexe de deux doigts que je sentis s’insinuer au plus profond de moi avant de les ressortir et de les replonger à nouveau. Un cri étouffé par le bâillon se fit entendre, et la cravache ne se fit quant à elle pas attendre sur mes fesses. Je n’avais pas le droit de gémir ni même de soupirer me dit-il. J’étais condamné à me concentrer sur le contrôle de mon plaisir. Puis il releva ma jupe d’un coup sec sur mes hanches. Toujours penché en avant, mes orifices étaient désormais à sa vue. De longues secondes s'écoulèrent avant que ses doigts ne reviennent à moi. Ses doigts mais pas seulement, un autre objet prenait par à cette séance, enduit visiblement de lubrifiant, cet objet se pointait à l’orée de mon œillet. Sans ménagement ce plug que je reconnu à sa forme glissa doucement mais sûrement en moi. Il y était calé, de taille honorable, au fond de mes entrailles, sans préparation préliminaire.

Monsieur d’un ton très sec « Je désire que tu le garde un long moment en toi, que tu y prennes goût et que quand je l’enlèverai, tu me supplies de le laisser! » Je ne répondis pas et sans avertissement la cravache me frappa à nouveau. « Hoche la tête au moins, tu m’entends ? » Je hochas la tête entre douleur et plaisir.

Il me releva, toujours prise par cet objet que j’avais du mal à accepter en moi. Il s’assit donc face à moi toujours debout. Il m’ordonna de m’agenouiller, tête baissée devant lui, puis ôta mon bâillon qu’il remplaça par un foulard de soie qu’il posa sur mes yeux. Prostrée devant lui, je du l’implorer comme je le faisais pour mon maître de me traiter en tant que soumise. Il ri tout à coup, sans savoir pourquoi il le faisait, j’entendis mon maître rire également. Se moquaient-ils tout deux de moi ? Je ne le saurai jamais… Il s’approcha de moi et m’effleura le visage avec son sexe, d’une peau douce mais encore molle, comme si je ne lui avais fais jusqu’à présent aucun effet. Il s’approcha encore plus près et le présenta à mes lèvres qu’il me fit ouvrir de ses doigts pour y insérer cette verge encore molle mais d’une taille assez impressionnante. Je pris donc ce sexe inconnu, que je n’avais pas vu dans ma bouche, il ne tarda pas à grossir et à combler cette bouche tant sollicitée par mon maître. De ses mains, il guidait les va et viens, tirait de plus en plus mes cheveux pour imprimer la cadence qu’il souhaitait. Les lèvres déformées de ce sexe, je continuais à l’aspirer du mieux possible, je sentais ses veines se gonfler sous ma langue.

Puis il arrêta d’un coup sans plus d’égards, il m’ordonna de me positionner à quatre pattes sur le sol, souleva encore un plus ma jupe et déversa sa semence dans le creux de mes reins. Ce liquide chaud, que j’apprécie tant, me souillait désormais. J’ai du rester dans cette position jusqu’à ce qu’il se rhabille et nous quitte, en ayant pour ordre de mon maître de le remercier pour sa brève mais très ludique visite, ce que je fis d’une voix enrouée

La Découverte

Je découvrais au fil du temps et pendant nos apartés Domination/soumission, une vie tout à fait nouvelle, dans les contraintes qui m’étaient infligées, le plaisir que j’éprouvais. Depuis le jour où j’avais rencontré Monsieur ARNAUD, je n’avais plus subis d’exhibition auprès d’autres personnes, jusqu’au soir, ou mon maître me fit m’apprêter d’une tenue très lascive et charnelle. Il me fit porter des bottes à talons aiguilles très hauts une jupe très courte sous laquelle se trouvait des bas noirs, une guêpière noire et un haut très échancré et moulant. Bouclée à l’ordinaire, je dus me lisser les cheveux. Il m’ordonna de mettre mon collier en cuir, une chaînette autour de mes hanches. Je me risqua de lui demander pourquoi cette tenue, il me répondit calmement que l’heure n’étaient plus aux questions et qu’en qualité de maître il n’avait pas à se justifier.

Nous prîmes la voiture, et il me banda les yeux jusqu’au point de RDV. Nous voilà donc arrivés. Au son de sa voix, je compris que c’était une jeune femme qui nous accueillait. Mon bandeau sur les yeux nous entrâmes dans ce lieu ou des voix se mêlaient. J’étais surprise que mon maître me laisse les yeux bandés mais ne pouvait y opposer de résistance. Il me fit m’asseoir sur un tabouret et m’ouvrit la vue en enlevant le bandeau.

Je découvris un lieu, gorgé d’érotisme, de sensualité et sûrement de plaisirs charnels. Les femmes y dansaient pour certaines, les hommes les regardaient, certains avec envie…

On m’offrit un verre, une téquila, que je dégusta avec l’accord de mon époux. Puis après une bonne heure, il me prit par la main et m’emmena au fond de cette immense salle, vers un escalier exigu. Un homme se trouvait devant, et il fallu qu’il se présente pour qu’on puisse continuer notre chemin. Une salle au sous sol, laissa apparaître une lumière dans les tons rouges.

Jamais de ma vie je n’avais vu un tel spectacle, nous étions dans l’antre de la domination et de la soumission. Les regards pleuvaient sur mon corps. On me dévisageait et l’angoisse s’emparait de mon être. Des femmes, jeunes pour la plupart à mon grand étonnement faisait acte de soumission aux hommes présents. Leurs attitudes, leur gestuelle, ne laissaient planer aucun doute, elles étaient toutes soumises et offertes à leur maître.

Puis à ma plus grande incompréhension, les soumises présentes y compris moi durent défilés devant ces hommes. Chacune avions des tenues à la fois si différentes mais aussi si érotiques. Les visages fermés de ces hommes augmentaient mes angoisses. Qu’étais je venue faire ici ?

Certains nous ont ordonné de repasser, d’autres nous obligeaient à nous retourner. Nous étions sur un marché ? Ils faisaient le leur.

Puis toujours debout devant eux, nos maîtres, mes maîtres, nous avons été chacune notre tour bâillonnées, les yeux bandés. Attroupées nous ne savions plus qui nous épiait, qu’allait être notre sort. Pourtant à mon grand étonnement aucune de ces femmes ne s’opposait à ce traitement, étais je la seule novice ? Dans le doute je n’y opposa aucune résistance.

Mon collier de cuir fut crocheté soudainement par une lanière, certainement une laisse qu’on tira pour me diriger vers une partie de la salle.

Une mains, puis deux, se posèrent sur mon corps, je ne reconnaissais pas mon maître, mais qu’en savais-je, il ne me parlait pas. On m’allongea sur une table froide, m’attachant les poignets et les chevilles, celles-ci placées au préalable dans des étriers. J’étais la offerte à je ne sais qui, totalement prise par ces liens. Des lanières de cuir couraient sur mon corps, sur mes courbes, ma jupe se souleva et fut ôter en un simple geste au même titre que mon haut. J’étais en guêpière devant cet homme, ou plusieurs hommes pour le plaisir de mon maître. On me félicita de mes courbes que j’avais su mettre en valeur dans cet ensemble. Je ne pouvais répondre, le bâillon m’en empêchait. Le string fut ôté à son tour. Mon sexe que peu d’hommes n’avaient vu, apparaissait lisse, et soyeux comme aimait le voir mon maître.

Je sentis une sensation de chaleur sur mon sexe, des doigts le parcouraient, des objets m’échauffaient mes lèvres, puis soudain je sentis un objet long me pénétrait, pas très large mais très long. Il coulissait lentement de plus en plus profondément en moi. Ma respiration s’accélérait à chaque mouvement de cet objet si doux. Puis on me l’enleva pour le remplacer par un objet plus rugueux et beaucoup plus large. Ma jouissance que j’essayais de réfréner ne se fit plus attendre. Mes jambes et l’ensemble de mon corps étaient sous l’influence de spasmes intenses. On me détacha, me déshabilla et on me positionna sur la même table à quatre pattes. Ça y est, j’étais totalement nue devant l’assemblée, pour seuls vêtements mes bottes et mes bas. Je fus rattaché, chevilles et poignets, cambrées de façon a être la plus offerte possible. Mes deux orifices furent sollicités à nouveau. On me lubrifia et je ressenti la même sensation qu’avec Monsieur ARNAUD, mais un plug encore plus gros pris place entre mes fesses. Il entra sans réelles difficultés, offrant la vue de cet orifice si étroit à ces hommes en pleine domination de leurs convives. J’ai senti que plusieurs hommes s’attroupaient autour de cette table de « t o r t u r e ». J’étais à nouveau complètement exhibée, à la merci d’inconnus. Des commentaires prenaient part à la scène, du plus consenti, au plus humiliant en passant par les plus crus. Puis vinrent s’abattre sur mes fesses de lourdes fessées, comme pour me punir de l’image de plaisir que je renvoyais à ces mâles dominants qui ne le toléraient pas.

Mon supplice continua, les coups étaient plus rapides, plus précis. Mes fesses s’échauffaient et devaient avoir pris une couleur rouge maintenant. Puis tout s’arrêta, me laissant dans cette position des plus humiliantes, pour moi qui n’était encore que novice dans ce monde. De longues minutes passèrent, ma croupe tendue vers ces mâles qui devaient s’en accommoder.

Des cris lointains se faisaient entendre. De longs gémissements féminins combler ces lieux. Était ce de la t o r t u r e , des cris de plaisir, je ne savais plus.

Ses gémissements, que je discernais très bien désormais, se rapprochaient de moi, comme si la soumise prise à partie se rapprochait ou alors comme si le cortège des maîtres se déplaçait d’une soumise à une autre. Le pressentiment que mon tour allait arriver ma torturait l’esprit, qu’allaient ils me faire ? J’allais sans aucun doute être à nouveau humilier, traitée comme une moins que rien, un objet de tous les vices, sur lequel toutes les pratiques sont permises. J’avoue que malgré l’appréhension ressentie, mon plaisir augmentait proportionnellement. Des talons arrivaient à proximité de moi, de cette table qui m’avilissait. Un homme ôta mon bandeau et mon bâillon. Mes lèvres étaient libres, je pouvais à nouveau respirer normalement. Ils étaient masqués, d’autres cagoulés, ces hommes que je reconnu en tant que tels par leur carrure imposante. Je fus surprise de la cérémonie autour de moi. L’ensemble des soumises autour de moi étaient positionnées de la même façon, attachées à quatre pattes sur une table et les fesses bien hautes, offertes à tous les assauts.

J’étais entourée. Je ne pouvais les compter, la lumière insuffisante, mes yeux qui sortaient de l’obscurité la plus totale, je ne discernais que quelques silhouettes masquées. D’autres semblaient être plus loin, en spectateurs.

Une cravache glissa dans le sillon de mes fesses avant de ne s’abattre sur une d’entre elles. Un cri s’échappa de ma bouche et je reçu un deuxième coup pour me faire comprendre que je ne devais pas montrer mes émotions, notamment celles de la douleur. Une main m’empoigna mes cheveux et les tira v i o l emment. Ma tête suivit ce mouvement, et une voix rauque me demanda d’un ton sûr d’elle, si j’aimais ce qui m’arrivait. Je répondis que j’aimais être soumise aux désirs des hommes. Il me demanda encore si cette situation m’excitait. Et avant que je ne réponde, une autre voix confirma que je ruisselais de plaisir. La soumission devenait une source intarissable de plaisir.

Un dominant s’approcha de mon visage, en tenant son sexe bien en main et me caressa doucement sans précipitation. Il fît le contour de mon visage, puis de mes lèvres et f o r ç a le passage pour s’insinuer dans ma bouche. A nouveau, un homme coulissait entre mes lèvres, acte que peu d’hommes avaient pu connaître. Ma langue constatait que ce sexe grossissait, mes lèvres se déformaient au fur et à mesure des va et vient. Plus il prenait du volume, plus il plaquait ma tête contre son pubis. Il était au fond de moi, dans ma gorge pour son plaisir. Ma respiration se faisait de plus en plus étouffée. Je suçais sous la contrainte de ses deux mains qui m’interdisaient toute délivrance pendant que d’autres commençaient à se loger derrière moi. On me touchait, me pelotait mes seins, mes fesses cambrées, des doigts couraient entre mes deux orifices, puis s’insinuaient entre mes petites lèvres rosées d’excitation. J’en sentis un, puis deux et trois, sans aucune difficulté.

Mon plaisir augmentait, mes gémissements étouffés s’amplifiaient dans cette salle où se mêlaient souffrance et plaisir. Mon tour était bien arrivé. J’étais prise par deux de mes orifices les plus intimes, encore une fois à la merci de ses hommes que je connaissais pas, ou peut être que je connaissais, comment le savoir. D’autres mains écartaient désormais mes fesses, mes yeux se révulsaient sous le plaisir et la jouissance d’une telle exhibition. L’homme logé dans ma bouche se retira et des doigts le remplacèrent. Ces doigts portaient le goût mon plaisir, ils étaient emplis de ma liqueur. On me fit les lécher, les sucer encore et encore, pendant que d’autres enduits de gel s’occupaient de mon œillet. J’ai bien compris l’intention de cette pratique, qui inévitablement était la prémisse de la future pénétration anale que j’allais subir. Les doigts étaient insistants, ils s’écartaient et gagnaient de la place dans cette orifice si étroit qui n’avais jamais vraiment était utilisé par mes amants.

Un sexe que je sentis d’un volume redoutable quand il se pointa devant cette porte, entra en moi par à coups. Les coups devenaient v i o l ents et s’était désormais moi qui criait et hurlait, de plaisir et de douleur. On me fit à nouveau taire en me distribuant deux gifles et en m’ordonnant de sucer un autre membre. Le maître qui me sodomisait me tenait par les cheveux ce qui augmentait la cambrure de mes reins. Impuissante de toute rébellion j’encaissais les assauts. Certaines mains aidaient à une pénétration plus profonde en écartant un peu plus mes fesses. J’imagine le spectacle que certains hommes devaient avoir. Est-ce que toutes les filles avaient été traitées de la sorte ? En tout cas on entendait plus que moi dans cette pièce si sombre, si austère.

Les coups de butoir sur mes fesses continuaient de plus belle, ainsi que mes cris et la jouissance que j’en éprouvais maintenant. Cet homme faisait de moi sa chose et il m’offrait en spectacle à l’assemblée de plus en plus inquisitrice sur mes talents de femme soumise et d’objet sexuel.

Puis d’un coup, mon maître du moment se retira, son sexe glissant vers la sortie de mon œillet. Cet orifice me semblait tout à coup béant, laissant sûrement une vue imprenable de mes entrailles les plus intimes. Un soulagement mais je dois le reconnaître une forte frustration me parcouru le corps à ce moment là. De longues secondes passèrent où j’étais dévisagée et reluquée sous toutes les coutures par ces hommes empreints de domination et au moment ou s’abattirent sur mes fesses une dizaine de coups de badine, je reçu, sur mon visage, la semence de mon inquisiteur. Il s’essuya soigneusement sur mes lèvres en m’ordonnant de le nettoyer de ma langue comme se devait de le faire une chienne de mon espèce.

Je fus, après ces sévices et plaisirs, détachée et attachée par l’anneau de mon collier au crochet du mur qui se trouvait devant moi. Puis le bandeau me fut remis sur les yeux. Juste avant, j’ai cru reconnaître mon maître en bout de salle avec le sourire ironique et dominateur que je lui connaît tant. D’autres cris emplissaient la salle, plus forts que les miens peut être je ne savais plus. S’échangeaient-ils les soumises, quels sévices leur infligeaient-ils ? Enfin, je sentis que je n’étais pas tout à fait seule, des attouchements, des palpations se faisaient maintenant sentir sur mon corps tuméfié de coups de badine et de prises vigoureuses. Ses mains me fouillaient, tâtaient la marchandise, me caressaient les cheveux, je me serais cru sur un marché de bétail.

Je sentais que la foule se dissipait désormais, les cris étaient moindres, les talons sur le sol s’atténuaient. Je fus détachée par mon maître qui me sortit de ce lieu à la fois si terrorisant et si attirant. Il me ramena chez nous et je tombas de sommeil, exténuée par une telle soirée.

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